2013

Contrer le contre-jour

Il est des choses qu’on ne décide pas : sa famille, ses allergies, son âge. Il en va souvent de même pour la direction du soleil. Théoriquement, en tant que photographe, il est préférable de le garder derrière soi; cela permet au sujet d’être éclairé du côté qui nous fait face. Mais, en pratique, c’est une autre paire de manches : la plupart du temps, la gente dame (ou le beau jeune homme, c’est selon) repose dans son ombre, le soleil ayant décidé de jouer les plaisantins et de se ficher droit devant. Impossible de l’éviter. Le constat devient évident : « Zut, un fichu contre-jour ». Alors, comment le corrige-t-on?Plus de détails...

Réussir ses couchers de soleil

Les vacances, la mer, le sable... la chaleur résiduelle d’une fin de journée mémorable. Et un soleil qui se prépare, quoiqu’un peu à contrecœur, à s’éteindre dans la mer. Reflex, systèmes compacts et compacts, un même combat... et un même constat : l’échec. Lamentable. Mais pourquoi diable est-ce si difficile de photographier cet instant? Pourquoi est-ce que les images sont toujours trop sombres, à cent lieues de ce qu’on perçoit à l’œil nu? Eh bien, laissez-moi tarir pour vous cette source de frustrations, explications et solution ne sont pas loin. En fait, juste ici, sous ce paragraphe d’introduction.Plus de détails...

Comment mettre une texture en image

Quand j’entends le mot « texture », je ne peux m’empêcher de penser au mur de stuc qui recouvrait le foyer du salon de la maison de mon adolescence : un mur fait de plâtre blanc appliqué à l’éponge, âpre, rêche, et qui semblait changer d’apparence selon le moment de la journée. Eh bien, tout le secret de la photographie des textures repose là : la direction de l’éclairage. En fait, une texture ne devient visible que lorsqu’on perçoit son ombre; c’est cette ombre qui définit, qui rehausse l’apparence de la texture grâce au contraste clair/obscur qu’elle crée. Voici donc les ingrédients de base afin de faire ressortir au mieux la texture des surfaces qui vous entourent.Plus de détails...

La profondeur de champ appliquée

La profondeur de champ, ce mystère dévoilé aux seuls initiés d’une secte presque deux fois centenaire. Elle permet de proscrire au regard un fond qui attirerait autrement trop l’attention ou, au contraire, de marier l’avant-plan à l’arrière-plan dans une noce où chaque fragment de l’image prend part au cortège visuel. Mais comment est-ce que ça fonctionne et surtout, comment est-ce qu’on la contrôle?Plus de détails...

Comment fonctionnent les polarisants?

Socrate, un jour, a déclaré : « Si je n’avais qu’un seul filtre, il serait polarisant. » en fait, il n’a jamais vraiment prononcé ces mots (le polarisant fut inventé 2328 ans après sa mort), mais s’il l’avait fait, ça serait en toute logique. Le filtre polarisant est l’accessoire incontournable dans le fourre-tout d’un photographe, qu’il mette en image des paysages, des détails architecturaux, des fleurs ou des insectes. rendant le ciel bleu tel qu’on le perçoit, éliminant les réflexions sur les surfaces, augmentant la saturation des couleurs, le polarisant est rapidement devenu l’accessoire dont on ne peut se passer. Mais, la question se pose : « Comment fonctionnent les polarisants? »Plus de détails...

Pourquoi est-ce si difficile de photographier du hockey dans un aréna?

Maints chevaliers l’ont tenté, mais peu s’en sont sortis honorablement. La photographie dans le vase clos que représente l’aréna n’a rien d’évident pour le commun des mortels. Trois dragons l’attendent patiemment dans l’enceinte fermée que l’astre du jour ne peut atteindre. Trois dragons puissants qui le désarçonneront dès la première charge. Existe-t-il ne serait-ce qu’une seule façon de triompher?Plus de détails...