2009

Les reflex numériques : 11 façons de retrouver le plaisir de photographier

Il est plusieurs d’entre eux qui, pour remplacer leur vieux reflex argentique, ont opté pour un appareil compact numérique performant. Les espérances étaient grandes : diminuer encombrement et poids, tout en conservant performance et polyvalence. Quelques centaines de dollars plus tard, la grande majorité d’entre eux y ont trouvé une forme d’assouvissement. Mais, les autres, les aficionados du reflex, ils sont demeurés sur leur faim. Les caracté- ristiques techniques, aussi transcendantes qu’elles soient, ne remplissent que peu leur promesse. Ils se sont vite aperçu des limitations qu’apportent les capteurs dont la taille fait 1/2,3 po de diagonale, et commencent tranquille- ment à remettre leur choix en question.Plus de détails...

Lithium-ion ou NiMH?

Ah! comme la neige a neigé depuis l’invention des accumulateurs rechargeables nickel-cadmium (NiCd) qu’utilisait mon père jusqu’à tout récemment. Conçues en 1899, commercialement disponibles dans les années 1950, plutôt chétives en énergie pour les appareils actuels, il était temps qu’elles évoluent! Ont suivi les accus nickel-métal hydrure (NiMH), les accus lithium-ion (Li-ion), les accus lithium-polymère (Li-Po) — que l’on retrouve notamment dans les ordinateurs — et les accus lithium- phosphate (encore aux tout premiers stades de développement). La raison par laquelle les accumulateurs ont dû évoluer rapidement tient à la demande en énergie : les appareils photographiques, entre autres, sont extrêmement énergivores.Plus de détails...

Pixels : une question de taille

Au fil des années, les compagnies entassent de plus en plus de millions de pixels sur les capteurs d’images de nos appareils numériques. À l’automne 2000, le Canon EOS D30 affichait presque impudemment ses 3,11 Mpx. Aujourd’hui, pour la même taille de capteur CMOS (22 x 15 mm), le Canon EOS 50D fait étalage de 15 Mpx. Mais il y a un effet pervers à ce pullulement. Le photosite voit sa surface de réception de la lumière s’amenuiser comme neige au soleil : d’un D30 aux pixels de 10,1 μm, on passe au 50D dont le pixel ne dépasse pas 4,7 μm.Plus de détails...

Qu’en est-il des numériseurs à plat pour négatifs?

Pour plusieurs d’entre nous, la mise à jour de l’inventaire photographique familial se doit de devenir une priorité, avant que les problèmes ne prennent le dessus! Déjà, les diapositives prises dans les années 1960 commencent à perdre de leur «superbe», les couleurs perdent tranquillement de leur saturation, certains négatifs accomplissent des contorsions dignes du Cirque du Soleil. Sur leur surface, on peut même voir apparaître de microscopiques champignons (bolets, chanterelles, amanites et pleurotes) causant une mycose irréversible. Il nous faut donc réagir... et rapidement!Plus de détails...

Un flash cobra : lequel choisir?

Un flash intégré ne restera toujours qu’une lumière d’appoint. Pratique lorsqu’on n’a pas d’autre chose, mais la qualité de lumière est loin d’être satisfaisante—une petite lumière frontale, limitée en portée, causant l’effet des yeux rouges. Le portrait ne saurait être très flatteur, dans tous les sens du mot. Voici quelques guides pour vous permettre de vous retrouver dans le labyrinthe «minotauresque» des flashs de type «cobra».Plus de détails...

Mais qu'est-ce que le HDR?

Toute surface photosensible (négatif, diapositive, CMOS ou CCD) est limitée face à l’écart de luminosité d’une scène qu’elle peut enregistrer. On peut capturer couramment sur les capteurs d’images des écarts de 8, 9 et même de 10 IL (indice de lumination*) entre les zones de basses lumières détaillées et les zones de hautes lumières détaillées. Par contre, il n’est pas rare de voir une scène de jour contenant 15 IL d’écarts de luminosité. Malheureusement, toute zone sombre ou claire située au-delà des capacités d’un capteur d’image ne contiendra aucune information, aucun détail. Point à la ligne. Et Photoshop n’y peut rien changer. (J’ose vous rappeler que Photoshop ne dessine rien; il ne fait que jouer avec ce qui existe...)Plus de détails...

Made in Japan, Made in China, une question d'étiquette…

Voici que je me sens prêt, à nouveau, à soulever une controverse! Et il y a de féroces partisans de chacun des côtés. Il est de ceux qui croient dur comme fer qu’une seule vérité existe: celle d’un Japon incomparable, irréprochable, presque intouchable, ceux qui clament haut et fort: «Il me semble que c’est évident! Inutile d’en parler plus avant». De l’autre, il y a ceux qui l’ont essayé, ceux qui ont vécu, ceux qui ont cherché une dissemblance et qui n’ont trouvé aucune preuve, pas même le quart de la moitié du commencement d’une.Plus de détails...